Toudon

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Toudon
Toudon
Vue de Toudon depuis le bas du village.
Blason de Toudon
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Alpes-Maritimes
Arrondissement Nice
Intercommunalité Communauté de communes Alpes d'Azur
Maire
Mandat
Pierre Corbin
2020-2026
Code postal 06830
Code commune 06141
Démographie
Gentilé Toudonnais
Population
municipale
351 hab. (2021 en augmentation de 5,72 % par rapport à 2015)
Densité 19 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 54′ 05″ nord, 7° 06′ 54″ est
Altitude Min. 192 m
Max. 1 512 m
Superficie 18,56 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Nice
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Vence
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Toudon
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Toudon
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Toudon
Toudon vu depuis l'est.

Toudon est une commune française située dans le département des Alpes-Maritimes en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Ses habitants sont appelés les Toudonnais.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Toudon est une commune qui se situe dans le sud-est de la France, à une heure de route de Nice. Elle se situe plus précisément dans le canton de Roquesteron, dans le département des Alpes-Maritimes (06) en Provence-Alpes-Côte d'Azur (PACA).

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Commune située dans la vallée de l'Estéron, membre du Parc naturel régional des Préalpes d'Azur.

Cime des Collettes, culminant à 1 513 m.

Catastrophes naturelles - Sismicité[modifier | modifier le code]

Le , de nombreux villages des diverses vallées des Alpes-Maritimes (Breil-sur-Roya, Fontan, Roquebillière, St-Martin-Vésubie, Tende...) sont fortement impactés par un "épisode méditerranéen" de grande ampleur[1]. Certains hameaux sont restés inaccessibles jusqu'à plus d'une semaine après la catastrophe et l'électricité n'a été rétablie que vers le . L'Arrêté du portant reconnaissance de l'état de catastrophe naturelle a identifié 55 communes, dont Toudon, au titre des "Inondations et coulées de boue du 2 au "[2].

Commune située dans une zone de sismicité moyenne[3].

Hydrographie et les eaux souterraines[modifier | modifier le code]

Cours d'eau traversant la commune[4] :

  • Rivière l'Estéron.
  • 9 ruisseaux, dont le ruisseau de Paolo et le ruisseau de l'Adrécha.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat de montagne et le climat méditerranéen et est dans la région climatique Var, Alpes-Maritimes, caractérisée par une pluviométrie abondante en automne et en hiver (250 à 300 mm en automne), un très bon ensoleillement en été (fraction d’insolation > 75 %), un hiver doux (°C) et peu de brouillards[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 976 mm, avec 6,1 jours de précipitations en janvier et 4,2 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ascros », sur la commune d'Ascros à 8 km à vol d'oiseau[7], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 930,1 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 34,4 °C, atteinte le ; la température minimale est de −10,7 °C, atteinte le [Note 1],[8],[9].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[10]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Voies de communications et transports[modifier | modifier le code]

Voies routières[modifier | modifier le code]

La commune est située à douze kilomètres de Gilette, par la départementale 27.

La route permet d'accéder à Toudon en 1895 à partir du pont Charles-Albert sur le Var, inauguré en 1852.

Transports en commun[modifier | modifier le code]

Transport à la demande (TAD)[12].

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Depuis le , Toudon fait partie de la communauté de communes des Alpes d'Azur. Elle était auparavant membre de la communauté de communes de la vallée de l'Estéron, jusqu'à la disparition de celle-ci lors de la mise en place du nouveau schéma départemental de coopération intercommunale.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Toudon est une commune rurale[Note 2],[13]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[14],[15].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nice, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 100 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[16],[17].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (98,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (83,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (13,5 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (1,8 %), zones agricoles hétérogènes (1,5 %)[18].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Économie[modifier | modifier le code]

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

Tourisme[modifier | modifier le code]

  • Restaurant[21].
  • Gîtes à Toudon et villages environnants[22].

Commerces et services[modifier | modifier le code]

  • Commerces et services de proximité dans les villages environnants[23].

Histoire[modifier | modifier le code]

Les plus anciens textes datent du XIe siècle, citant le village sous le nom de "castrum de Todon" et "villa Thodoni".

Guy et sa femme Bismoda donnent deux pièces de vigne situées à "Tudomno", dans le comté de Glandèves", au monastère de Saint-Véran (monastère fondé par saint Véran, un moine de l'abbaye de Lérins puis évêque de Vence, à Cagnes-sur-Mer, et abandonné au XIe siècle), le . Toudon dépendait de l'évêché de Glandèves. Toudon appartient à Jean de Glandèves en 1232. En 1252, Raibaud d'Ascros s'empare du village. Il est repris par Rostaing de Toudon avec l'aide du seigneur de Gilette. Le village appartient aux Grasse du Mas avant de passer aux Grimaldi de Beuil en 1382, à l'occasion de la guerre entre les héritiers de la reine Jeanne, jusqu'à l'exécution d'Annibal Grimaldi en 1621. Dès janvier 1614 le duc de Savoie avait placé à Toudon et Ascros des garnisons. Le château est détruite entre le 14 et le . Ensuite le village est une possession des Galléan pendant un siècle, puis, à la mort de Jean Galléan sans enfant, il passe en 1752 aux seigneurs de Roubion jusqu'en 1794. Le dernier seigneur est Pierre Louis Stanislas de Roubion.

Le village a dû subir plusieurs tremblements de terre. Ceux du , de 1619, et surtout du qui a provoqué la mort de 36 personnes et la destruction de 32 maisons. Celui du détruit la chapelle Saint-Jean.

Pendant la bataille de Gilette, qui commence le et le 18-, le général autrichien De Wins est présent avec le bataillon de Mondovi pour surveiller la vallée du Var. Le village redevient une possession sarde en 1814 avant d'être rattaché à la République française, en 1860 après le vote du [24].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Toudon Blason
D’or au milan de sable becqué et armé de gueules, essorant d’un rocher du même mouvant de la pointe, surmonté d’une étoile de seize rais aussi de gueules[25].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2001 mars 2008 Jacques Castel    
mars 2008 mars 2014 Alain Brun[26]    
mars 2014 mars 2020 Jean-Louis Puccetti DVD Retraité
mars 2020 En cours Pierre Corbin   Retraité

Budget et fiscalité 2019[modifier | modifier le code]

Mairie et école.

En 2019, le budget de la commune était constitué ainsi[27] :

  • total des produits de fonctionnement : 250 000 , soit 736  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 153 000 , soit 451  par habitant ;
  • total des ressources d'investissement : 80 000 , soit 237  par habitant ;
  • total des emplois d'investissement : 4 000 , soit 11  par habitant ;
  • endettement : 7 000 , soit 21  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d'habitation : 16,00 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 6,70 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 40,00 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2017 : médiane en 2017 du revenu disponible, par unité de consommation : 20 160 [28].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[30].

En 2021, la commune comptait 351 habitants[Note 4], en augmentation de 5,72 % par rapport à 2015 (Alpes-Maritimes : +1,99 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1822 1838 1848 1858 1861 1866
400413443502600602524480512
1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
527510503504464508514433323
1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
315334349266261184174170117
1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017 2021 -
117148227262267317344351-
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Il existe des données sur la population dans le comté de Nice grâce à des relevés faits au cours d'enquêtes en 1701, 1754 et 1793[33] :

- 1701 : 90 feux,
- 1754 : 80 feux, avec 255 personnes,
- 1793 : 632 personnes

Enseignement[modifier | modifier le code]

Établissements d'enseignements[34] :

  • École maternelle,
  • École primaire,
  • Collèges à Saint-Martin-du-Var, Carros, Saint-Jeannet,
  • Lycées à Vence, Valdeblore.

Santé[modifier | modifier le code]

Professionnels et établissements de santé[35] :

  • Médecins à Villars-sur-Var, Gilette, Bouyon,
  • Pharmacies à Gilette, Plan-du-Var-Levens, Saint-Martin-du-Var,
  • Hôpitaux à Villars-sur-Var, Saint-Jeannet, Puget-Théniers.

Cultes[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Église Sainte-Élisabeth[37], dont le début de la construction date du XIe siècle[38]. L'église a été restaurée au XVIIe siècle avec les pierres du château dont les vestiges s'étaient effondrés au cours d'un séisme. Elle est à nef unique et abside en cul-de-four avec une galerie du chœur en bois peint. Un transept a été ajouté au XVIIe siècle[39].
    Elle possède une porte en noyer cloutée, un lustre daté de 1543 et des tableaux du XVIIe siècle.
    Elle a été restaurée en 1929.
  • Chapelles :
    • Chapelle Saint-Jean[40]. Saint Jean Baptiste est le saint protecteur du village. La chapelle était déjà citée en 1200. Le séisme du détruit la chapelle dont il ne restait qu'un mur. Elle a été reconstruite en 1892. Elle a été restaurée en 1960.
    • Chapelle Notre Dame des Grâces Vescous[41], hameau du Vescous, qui se trouve à 10 km de Toudon.
  • Monument aux mort. Conflits commémorés : Guerres franco-allemande de 1914-1918-1939-1945[42],[43].
Lavoir et Amourier.
  • Lavoir à arcades[44]. Sa construction a été décidée par un vote du conseil municipal le . Son utilité va diminuer après l'installation de l'eau courante en 1941.
  • Fontaine[45].
  • Musée, installé dans l'ancien moulin[46]. On y présente des fossiles du crétacé trouvés à Toudon. Le moulin à farine a été installé en 1908. Dans une pièce a été reconstitué un intérieur des années 1930.
  • Ruines du château détruit en 1621[47], il ne reste plus que quelques pans de murs de l'ancien château des comtes de Beuil[48],[49],[50].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Alex : Épisode méditerranéen en Provence en octobre 2020
  2. Communes reconnues en état de catastrophe naturelle - Alpes-Maritimes et Côtes-d'Armor
  3. Didacticiel de la réglementation parasismique
  4. L'eau dans le bassin Rhöne-Méditerranée
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. « Orthodromie entre Toudon et Ascros », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Ascros », sur la commune d'Ascros - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Station Météo-France « Ascros », sur la commune d'Ascros - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  12. Transports à la demande
  13. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  15. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  19. Agriculteur
  20. Agriculteurs et éleveurs
  21. Restaurant
  22. Gîtes ruraux
  23. Commerces et services
  24. Vallée de l'Estéron : Toudon, Historique
  25. « Toudon », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
  26. Site de la préfecture des Alpes-Maritimes, consulté le 20 juin 2008
  27. Les comptes de la commune
  28. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. Alain Ruggiero, La population du comté de Nice de 1693 à 1939, p. 43, Serre éditeur, Nice, 2002 (ISBN 2-86410-342-7) Google Livres
  34. Établissements d'enseignements
  35. Professionnels et établissements de santé
  36. Paroisse Notre-Dame de Miséricorde
  37. Église Sainte Elisabeth
  38. Église Sainte Élisabeth
  39. L'église, sur patrimages.culture.gouv.fr/
  40. Chapelle Saint Jean
  41. Hameau de Vescous et Chapelle Notre Dame des Grâces
  42. Monument communal
  43. Toudon - Morts aux guerres, sur geneawiki.com/
  44. Le bassin du lavoir de Toudon
  45. Fontaine de Toudon
  46. Toudon, village de la Vallée de L’Estéron
  47. Histoire de Toudon
  48. Georges Barbier, Châteaux et places fortes du comté de Beuil, p. 186-187, Nice-Historique, 1994, no 11 Lire en ligne
  49. Espaces et rites judiciaires dans la Baronnie de Deuil, au XIVe siècle, par Benjamin Arino
  50. L 'Histoire de la famille des Grimaldi, barons puis comtes de Beuil, Contes du Pays d'Azur, par Edmond Rossi

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]